• Nos conférences et vous

     

    Nos conférences et vous

    Nos conférences et vous

    Afin de dresser un bilan des conférences organisées en 2014-2015 et de mieux connaître vos attentes, un questionnaire vous a été soumis : en voici les résultats.

     

    Vous êtes fidèles :

    • près de 85 % des personnes ayant assisté aux conférences « 1900-1920. L’avant-garde en marche » avait déjà suivi des conférences au musée lors des années précédentes.
    • 73 % d’entre vous ont assisté à plus de 5 conférences au cours de l’année.

    Pour la majorité d’entre vous, vous avez eu connaissance de l’existence de ces conférences :

    • par une affiche, un flyer ou un programme,
    • par le bouche à oreille,
    • par voie de presse. 

    N’oubliez pas de consulter régulièrement notre blog et notre page Facebook également !

     

    Vous êtes satisfaits :

    • de la longueur du cycle (60 % TS*, 40 % S)
    • de la durée des conférences (40 % TS, 57 % S)
    • de la qualité des intervenants (36 % TS, 61 % S)
    • de la cohérence du cycle (50 % TS, 50 % S)
    • de la fréquence des conférences (46 % TS, 54 % S)
    • de l’horaire (34 % TS, 55 % S)
    • de l’accueil qui vous est réservé (73 % TS, 27 % S)

    Un petit bémol au niveau du confort de la salle : vous êtes 14 % à être peu satisfaits. Nous en sommes conscients, les conditions de la salle ne sont pas optimales…

    * TS : très satisfaisant
      
     S : satisfaisant

     

    Ce que vous avez apprécié :

    • la qualité des intervenants
    • la diversité des sujets et des thèmes abordés
    • la clarté des propos de la plupart des intervenants
    • le système de réservation, pratique et sûr

     

    Trois conférences ont été en particulier plébiscitées :

    • L’Ecole de Nancy ou l’esthétique de la Nature
    • Glasgow/Vienne : l’autre Art nouveau
    • Le Silence des peintres ? L’expérience de la Grande Guerre dans la peinture britannique

     

     

     

    Ce qui vous a déplu :

    • certains intervenants mal préparés (longueur excessive, lecture du texte, manque d’illustrations…)
    • les conditions matérielles :
               - température de la salle, froide en hiver, chaude en été :      malheureusement, nous n’avons pas de climatisation et nous ne pourrons remédier à ce problème.
                -
      l’obscurité qui empêche, notamment, de prendre des notes : nous tenterons donc, dès le mois d’octobre, de laisser la lumière allumée, ce qui ne devrait pas trop nuire à la lisibilité du diaporama.
                -
      la sono : certains la plébiscitent, d’autres la jugent inutile. Dans la plupart des cas, nous laissons le conférencier juge de la portée de sa voix.
                -
      la visibilité : il a été suggéré de monter l’écran et de surélever le conférencier. Les conférences se tenant dans une des salles du musée, nous sommes contraints d’utiliser un matériel facile à mettre en place et à enlever. Quant à l’écran, il est déjà plus haut d’au moins 50 cm par rapport à 2013 ! Une solution serait que les conférenciers réalisent leur diaporama en notant les légendes en hauteur, ce que nous leur demanderont désormais systématiquement.

     

    Un droit d’entrée ?

    Vous y êtes favorable à 80 %, dans la limite du raisonnable (2 ou 3 €).

    Cette option n’est pas envisagée pour l’année 2015-2016, nous y songerons sans doute pour le cycle de conférences 2016-2017. Les modalités de cette éventuelle participation restent aujourd’hui à définir.

    Comme le soulignent deux d’entre vous :

    • « le droit d’entrée peut se justifier par les frais engagés et la situation financière globale mais ne doit pas être un obstacle »
    • « la gratuité permet d’assister à plusieurs conférences, même à celles qui présentent, au premier abord, moins d’intérêt pour soi. C’est aussi enrichissant de les découvrir grâce à cette gratuité. Payer un droit d’entrée impliquerait un choix plus restrictif »

     

    Remarques diverses :

    On nous a suggéré de programmer les conférences en faisant attention à ne pas les faire coïncider avec une certaine émission de télévision ! Elles sont avant tout fixées en fonction de l’emploi du temps du conférencier ou de l’actualité du musée. Certains mois, les possibilités sont minces !

    Quelques remarques ont été faites au sujet de l’horaire (20 h) : certains préféreraient plus tard, d’autres plus tôt.
    L’horaire de 20 h a été choisi après quelques expérimentations au moment de la mise en place de ces conférences mensuelles. Il nous est apparu le plus judicieux dans la mesure où, à 18 h, les gens qui travaillent ne peuvent venir, et à 20 h 30, les conférences finissent trop tard pour certains.

    Enfin, certains souhaiteraient que les conférences complètes puissent être doublées. Pour des raisons logistiques (les conférenciers viennent souvent de loin et, à cause d’autres obligations, limitent leur séjour barisien au minimum) et financières, cela est rarement possible, sauf dans le cas d’un conférencier local.

     

    Qui êtes-vous ?

    Notre public est composé à 75 % de femmes.

    Vous êtes à 66 % barisiens. Mais cela n’empêche pas des courageux de venir d’un autre département (6 %) !

    65 % d’entre vous ont plus de 60 ans, 30 % ont entre 40 et 60 ans. Le bouche à oreille étant l’un des principaux vecteurs de connaissance des conférences, n’hésitez pas à en parler autour de vous, y compris aux plus jeunes !


  • Commentaires

    1
    Albert
    Samedi 29 Août 2015 à 17:00

    Bonjour,


    concernant la gratuité des conférences, de deux choses l'une : ou bien les conférenciers se font rétribuer, ou bien ils sont bénévoles. Dans le second cas, je ne vois pas ce qui justifierait un prix d'entrée.  Dans le premier cas (comme dans le second, d'ailleurs), le budget du Musée comporte certainement un poste ''frais de conférences'' et , pour le second cas uniquement, une ligne : ''rétribution des conférenciers'' : cela étant,  il serait peut-être envisageable pour les spectateurs de contribuer à rémunérer les conférenciers, mais cela reste discutable, la vocation du Musée étant de diffuser la culture ; or, s'il dispose déjà d'un budget pour le faire...... 


    Enfin, une petite pointe d'humour : au cas où le paiement d'un ticket se révèlerait incontournable, bénéficiera -t- il de l'option ''satisfait ou remboursé'' ?


     


    Amitiés,


     


    Albert

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